Quels sont les meilleurs livres de voyage à lire? Quels sont les romans ou les guides parmi mes favoris? Qu’est-ce qui est recommandé comme lecture avant un voyage? Chaque année, des romans, des guides et des livres-photos se retrouvent inévitablement sur ma liste de cadeaux. Avant que vous ne disiez quoi que ce soit : oui, ça lit encore, des voyageurs! Nous n’avons pas tous des liseuses électroniques… J’apprécie tellement la bonne odeur du papier et la sensation sous mes doigts en tournant les pages. Je ne pourrais pas me passer de lecture voyage! Voici donc mes suggestions d’incontournables lecture.
Si vous cherchez d’autres idées, consultez mes listes d‘idées-cadeaux pour voyageurs!
L’axe du loup de Sylvain Tesson
Sylvain Tesson. Le nom d’un auteur dont je prends systématiquement les ouvrages à la librairie. Un vrai aventurier. Un voyageur comme pas deux. D’abord découvert dans On a roulé sur la terre avec Alexandre Poussin, ce Sylvain a toujours attisé ma curiosité, alors quand j’ai vu L’axe du loup sur l’étagère, j’ai craqué.
Après plusieurs heures de lecture pour venir à bout des 272 pages (Éditions Pocket), je me retrouve quelque peu sans mot, incapable de réellement exprimer mon sentiment envers cet ouvrage. Certes, j’ai eu du plaisir à le lire et à m’imaginer quel périple ça a dû être, ce périple de la Sibérie à l’Inde sur les pas des évadés du goulag. Des moments riches en émotion, des passages plus neutres, moins emballants.
Un paysage qui semble ne pas se détacher des autres, des mots prosaïques qui n’ont pas réussi à me faire embarquer réellement dans l’histoire, bien que j’aie tout de même dévoré le livre… J’en demeure perplexe; j’ai pourtant généralement une opinion tranchée sur les romans qui me passent sous les yeux.
Ce que je peux vous promettre, c’est que vous apprendrez beaucoup sur cette région du monde si, comme moi, vous en saviez peu. Vous rêverez également de vent, de verdure et de liberté; de fouler des contrées lointaines comme nul autre avant vous. Et, donc, vous apprécierez sans doute ce livre même si je ne peux le qualifier de grand classique!
Whisky berbère de Marie-Ève Martel
Bleu azur et jaune agrumes ornent la couverture de ce roman coup de cœur. Au début, j’étais peu attirée par le titre Whisky berbère, ne sachant pas trop à quoi m’attendre, mais comme j’aime encourager les auteurs québécois, surtout ceux qui parlent de voyage, j’ai tenté le tout pour le tout.
Inutile de dire que tous mes doutes se sont dissipés dès les premières pages. Marie-Eve Martel écrit de façon légère et humoristique, sans toutefois tomber dans la simplicité ennuyante. Tout au contraire, ses descriptions colorées et poétiques de son périple au Maroc (en fait, de ses deux visites combinées) sont fascinantes et originales. Elle aborde le pays sous un angle méconnu, avec un respect profond des valeurs locales tout en les démystifiant pour les gazelles (nom donné aux femmes blanches au Maroc) comme nous! Et le whisky, dans tout ça? Eh non, on ne parle pas du tout d’alcool, vous le découvrirez bien!
Loin du récit traditionnel de voyage, ce roman m’a charmée de A à Z. À la dernière page, j’étais déçue que ça soit fini tellement j’en voulais encore. Je vous recommande chaudement cette lecture qui vous donnera envie du Maghreb comme jamais.
Je vous laisse sur quelques citations rigolotes :
Oh que oui! C’est la femme qui commande au foyer! Mais devant les invités ou en public, elle prétend que son mari décide de tout. […] C’est une pratique transmise de mère en fille. La mère apprend à sa fille comment contrôler la maisonnée tout en faisant croire à son époux que les décisions viennent de lui. Les Marocaines, elles sont très futées…
Madame, entrez rien que pour voir!
Votre pied dans ma boutique, c’est un porte-bonheur.
(Commerçant à Marrakech)Et les habitants embellissent leurs villes et villages pour le roi qui se déplace dans tous les coins du pays. La venue du roi dans un endroit, c’est comme… la pluie sur un champ : ça fait tout pousser!
L’usage du monde de Nicolas Bouvier
Un énorme et fabuleux classique! Paru en 1963, L’usage du monde de Nicolas Bouvier retrace deux ans de pérégrinations partagés avec le peintre Thierry Vernet, de la Yougoslavie au Pakistan.
« Fainéanter dans un monde neuf est la plus absorbante des occupations ».
Nicolas Bouvier
Pour plus d’infos sur ce livre, lisez l’article ici.
Un été d’amour et de cendres d’Aline Apostolska
Pour qui n’a pas eu la chance de voyager en Asie, Un été d’amour et de cendres constitue une belle porte d’entrée sur la réalité tibétaine et indienne. Ce roman de l’écrivaine Aline Apostolska nous plonge dans l’expérience d’une jeune adolescente, Emma, constamment trimbalée aux quatre coins de la planète par ses parents enseignants férus de coopération internationale.
Inspiré de faits réels que l’auteure a vécus dans la communauté de Dharamsala en 1997, le récit, où une première histoire d’amour dramatique constitue le grand filon conducteur, introduit d’abord le lecteur à ce qui particularise tant l’Inde chaotique: au côté de la jeune fille, on se familiarise d’abord avec les systèmes de castes, à la mousson, aux rituels religieux et aux cérémonies crématoires. On franchit le pas de l’Inde touristique et aux saris colorés pour découvrir dans les terres profondes une Inde miséreuse et profondément grise. Au-delà du simple témoignage, l’auteur dénonce:
«En Inde, la vie humaine semble souvent peu de chose. Il faut se soumettre à ce qu’elle est, telle qu’elle est : honorable, agréable ou innommable, vous l’avez méritée pas question de la remettre en question, c’est la loi immuable du karma, un système de contrôle social travesti en foi».
Puis, la vision de l’adolescente permet d’ouvrir un autre regard sur une enclave tibétaine du nord de l’Inde. C’est au cœur d’une communauté d’orphelins qu’on en apprend davantage sur le passé des Tibétains, jadis peuple de guerriers, sur la haine les reliant aux Indiens, sur les revers du « middle way » pratiqué par le Dalaï-Lama et sur ses dissidents.
Au côté de la jeune fille on se fait témoin, découvrant l’Hindouisme et les rites et lieux de crémation sur le Gange, on se questionne sur notre vision du bouddhisme, sur la charité purement chrétienne de Mère Teresa à Calcutta, mais surtout on déconstruit notre vision occidentale par moment bien partielle et idyllique…
Le récit se veut aussi une méditation sur le voyage et le déracinement :
Les longs voyages ferroviaires ont pour effet particulier de diluer les émotions, heureuses ou malheureuses, de les effilocher jusqu’à ce que l’on n’en retienne que l’essentiel, que la substantifique expression.
À l’heure où l’on entend tristement parler de plus en plus des immolations qui y ont pourtant lieu depuis maintes années, ce roman se veut absolument d’actualité. Bien qu’il s’adresse aux jeunes adultes, on le retrouve dans les sections jeunesse; il constitue une riche et profonde porte d’entrée à la réalité indienne et tibétaine. Du moins, un premier bon apprivoisement…
À dévorer.
Critique par Marie-Eve Blanchard
Princesse Yennenga de Réjean Tremblay
Bien honnêtement, Réjean Tremblay ne fait pas partie de mes scénaristes favoris. C’est donc avec une petite réticence que j’ai commencé à lire son premier roman, Princesse Yennenga, paru aux Éditions de l’Homme en 2012.
Dès les premières pages, mes craintes se sont toutefois envolées. Ce roman n’a (heureusement!) rien à voir avec certaines téléséries québécoises dans lesquelles les dialogues sonnent parfois faux et l’intrigue semble tirée par les cheveux.
Dès les premières lignes, nous sommes plongés dans l’univers africain avec ses couleurs, ses saveurs et ses odeurs. Au-delà du récit comme tel, le choix des mots et les descriptions imagées font rêver et donnent envie de poursuivre la lecture.
L’auteur raconte le parcours de Julie Bertrand, une jeune gynécologue québécoise en mission humanitaire au Burkina Faso. Son rôle de médecin la place dans une situation bien particulière, d’autant plus qu’elle est une femme émancipée. Les coutumes du peuple burkinabé en ce qui concerne l’excision et le droit des femmes lui sont présentées de manière assez brutale. De façon certes un peu prévisible, cette jeune femme sera confrontée aux valeurs et aux traditions locales et s’en trouvera bouleversée. Au fil des rencontres et des événements, Julie modifie ses repères et s’ouvre aux différents plaisirs des sens. Tout cela est présenté de façon très respectueuse, sans jugement envers le mode de vie africain qui a aussi ses bons côtés et ses aspects rafraîchissants.
Il ne s’agit certainement pas de grande littérature révolutionnaire, mais plutôt d’une lecture agréable qui permet de s’évader durant quelques heures et de connaitre un peu mieux une autre réalité.
Critique par Catherine Bélair
Un matin je suis partie d’Alice Steinbach
Qui n’a jamais eu envie de tout laisser tomber pour partir à l’aventure? De mettre en veilleuse une vie confortable pour aller découvrir ce que le monde a à offrir? C’est exactement ce que le délicieux roman Un matin je suis partie, d’Alice Steinbach, nous propose. D’abord paru en anglais sous le titre Without Reservations, le roman a été traduit en français en 2002. Ce court récit roman de quelque 350 pages en format de poche se lit rapidement et donne envie de (re)découvrir les véritables désirs qui sommeillent en nous.
La protagoniste, Alice, décide de laisser sa vie en plan pendant quelques mois pour aller à la rencontre d’une autre partie d’elle-même. D’ailleurs, le fait que le personnage principal ait le même prénom et exerce le même métier (journaliste) que l’auteure permet de penser qu’il pourrait y avoir une part importante d’autofiction.
Malgré les doutes, la peur et son sens des responsabilités, Alice s’envolera d’abord pour Paris, où elle fera de mémorables rencontres. Par la suite, elle ira voir du côté de plusieurs autres grandes villes (Londres, Milan, Venise, entre autres), où ses promenades se transformeront surtout en voyage intérieur. Alice se découvre en tant qu’individu, au-delà des rôles sociaux attribués au fil des ans. Tout au long de son périple, Alice s’envoie des cartes postales pour faire des bilans ou simplement pour s’encourager.
Bien que traduit de l’anglais, le roman de Steinbach est très bien écrit. Dès les premières pages, on a envie d’avoir le même courage qu’Alice et de partir à la découverte de soi-même. Les villes visitées par Alice sont magnifiquement bien décrites et il n’est pas difficile de s’imaginer à la place du personnage principal. Une lecture inspirante qui comblera agréablement un moment d’attente entre deux transports ou une soirée dans un hôtel d’une ville encore inconnue!
Critique par Catherine Bélair
Burmese Days de George Orwell
« A Club member is sacrosanct »
On le trouve partout le long du Scott’s Market (Yangon). Les pages sont photocopiées sur un carton-pâte relié par un bon vieux bâton de colle… Mais ne vous arrêtez pas à l’allure recyclée de ce fabuleux bouquin. Burmese Days de George Orwell nous plonge au cœur des années 1920, dans le village isolé de Kyauktada, au fait de la domination du grand Empire britannique. Un village isolé donc… plombé par la chaleur humide et loin de tout. Peuplé d’une poignée de colons britanniques, de quelques indigènes, de buffles, de moustiques… Ce cadre réduit donne toute la dimension pathétique aux impitoyables manœuvres politiques et sentimentales auxquelles se livrent les personnages.
Pathétique, mais délicieux… L’isolement exacerbe les tensions. Bien décidé à être le premier membre indigène à intégrer le « Club anglo-indien » de Kyauktada, le juge corrompu U Po Kyin est prêt à tout pour nuire à la réputation du rival Dr Veraswami. Ce dernier cherche la protection et le soutien de John Flory, un marchand de bois désenchanté, pour intégrer le Club et préserver sa réputation des coups vicieux du magistrat. Autour de cette trame se greffent d’autres histoires qui offrent un aperçu sans concession des croyances et des pratiques sous l’Empire britannique. Les trames se nouent et les histoires passent. Au final, ne reste que Kyauktada… un village perdu. Une poignée de colons, quelques indigènes, des buffles et des moustiques… Alors, on se dit : « Tout ça pour ça ? » Ben oui… Ce livre inspire un sentiment de gâchis si bien amené qu’on y repense avec délectation.
Critique par Charles Boisseau
La bible du grand voyageur
Incontestablement une bible que La Bible du Grand Voyageur! Cette brique-conseil est pratique pour les novices, mais sera également appréciée par les voyageurs qui souhaitent varier les plaisirs, changer leur mode de voyage ou apprendre de nouvelles choses!
Cliquez ici!
On y parle de TOUT, du voyage classique au séjours en solo en passant par le bateau-stop et le glanage urbain.
Le voyage pour les filles qui ont peur de TOUT
Conseils voyage d’expertes et habituées et anecdotes rigolotes s’entremêlent pour créer des profils de voyageuses agréables à lire. Le voyage pour les filles qui ont peur de TOUT est un cadeau parfait pour celles qui n’osent pas planifier leur premier voyage comme pour celles qui adorent l’aventure et veulent sourire en se rappelant les types de voyageurs qu’ils ont rencontrés sur la route. En plus, ce sont les talentueuses Marie-Julie Gagnon et Ariane Arpin-Delorme qui en sont les auteures!
Lulu, Lila et la plume qui plane
Une aventure pour les petits de 3 ans et plus. Initiez-les au voyage ou occupez-les sur la route. Un super beau cadeau qui permet d’apprendre tout en s’amusant. Je n’ai pas encore pu le feuilleter, mais il a l’air vraiment chouette!
Ah, et si vous cherchez d’autres guides intéressants à offrir en cadeau, pourquoi pas un de ces guides Ulysse? Je suis tellement fière d’y retrouver une ou plusieurs de mes photos!
Guides de destinations particulières
Prenez le champ de Julie Aubé, voyager local au Québec
Vous aimez manger autant que moi? L’agrotourisme au Québec vous passionne et vous êtes curieux d’en apprendre plus? Si vous aimez découvrir les personnages derrière ce que vous mangez, procurez-vous le livre Prenez le champ de Julie Aubé, une amie qui est terriblement passionnée et passionnante! Ça colle bien avec ma déclaration d’amour aux produits locaux!
Julie et moi, on partage la même philosophie, le plaisir de discuter, la curiosité de découvrir et de goûter, le bonheur de donner une histoire aux ingrédients dans nos assiettes, un parfum à nos carnets de notes.J’étais donc certaine que j’adorerais le livre dès qu’elle m’a parlé du projet autour d’un bon café. Je partais d’ailleurs tourner l’émission sur les producteurs du Kamouraska pas longtemps après…
Maintenant que j’ai son guide entre les mains, je confirme qu’il vaut le détour! Il est coloré et pétillant et donne l’eau à la bouche. Les photos sont complémentaires au texte et le tout donne un rendu de qualité dans un format facile à laisser dans la voiture pour la prochaine aventure!
Ça donne aussi bien envie de rencontrer les gens qui font vivre ces bonnes saveurs.
Les 21 itinéraires d’escapades sont parfaits pour les indécis, pour les aventures spontanées ou encore pour ceux qui aiment planifier. C’est le fun de mettre un visage sur les gens qui nous nourrissent, qui chouchoutent notre terroir. Une belle idée-cadeau aussi d’ailleurs!
Merci Julie pour cette incursion dans la belle province!
Pour vous procurer le guide, favorisez donc une petite librairie québécoise, pour rester dans le thème! Si vous êtes toutefois en France, voici le lien pour la commande! 🙂
Bonne découverte des régions du Québec!
Avez-vous d’autres suggestions lecture pour voyageurs?
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17 commentaires
Tiphanya
12 décembre 2015 à 10 h 52J’ai abandonné l’idée que ma famille m’offre des livres (j’en ai trop, ils ont peur d’acheter quelque chose que j’ai déjà et ça depuis que j’ai 10 ans….). Du coup aujourd’hui je me suis fait plaisir avec “Elles ont conquis le monde”, un titre un peu tapageur avec pour sous-tire “les grandes aventurières 1850-1950”. J’ai vu que j’allais faire plus ample connaissance avec Ella Maillart, Osa Johnson, Karen Blixen et bien d’autres que je ne connais pas encore.
Jennifer Doré Dallas
14 décembre 2015 à 04 h 38AHhh Karen Blixen, une héroïne!
Lucie
13 décembre 2015 à 09 h 13Sympa la sélection, surtout les premiers titres 🙂 J’aimerais bien m’offrir celui de Mme Oreille personnellement 🙂
Par contre en jeunesse je pense qu’il y a nettement plus sympa que le livre de chez Ulysse (je ne le connais pas mais je trouve pas que son graphisme / illustration donne envie) : le tour du monde de Mouk, le bouquin Cartes (un indispensable :D)
Jennifer Doré Dallas
14 décembre 2015 à 04 h 35Je vais regarder ça! 😉
Anick-Marie
15 décembre 2015 à 06 h 12Le livre de photo d’Aurélie en vaut la peine pour toute personne débutant en photo – il m’a accompagnée dans mon premier cours et en a couvert toute la matière avec des exemples beaucoup plus parlants que ce que je voyais en classe ! Très pédagogique !
Maryse
19 avril 2016 à 02 h 34On a le livre Lulu, Lila et la Plume qui plane, et c’est fantastique. Ma fille qui a presque quatre ans l’aime beaucoup. La qualité et les images sont superbes.
Jennifer Doré Dallas
19 avril 2016 à 02 h 58Il est vraiment beau en effet!
Elodie
16 décembre 2015 à 07 h 14Chouette sélection!
Le livre de Mme Oreille est vraiment de bon conseil, agréable et convivial, à avoir dans sa bibliothèque de voyageur.
J’ai lu la BDGV #1 qui m’a vraiment plu et appris plein de choses. J’imagine que la version #2 est encore mieux.
Le livre pour les filles qui ont peur de tout est sur ma liste de Noël… 😉
Le meilleur du Québec me faisait peur, un peu comme toi, je me disais que ça allait être la fête aux clichés… mais ton commentaire me donne envie de le mettre sur ma liste de Noël aussi !
Carole
25 décembre 2015 à 03 h 52J’aime tous les livres de voyages et de photos de sites rarement visités. J’en profite pour faire une demande. Des gens de ma famille veulent aller en Israël, pour un pèlerinage historique de Jésus et ses apôtres.
Je trouve pour ma part que c’est un voyage pour le moins périlleux en ce temps de guerres. Risqué? Intéressant? Livres sérieux sur cette destination?
Merci et joyeuses fêtes.
Jennifer Doré Dallas
28 décembre 2015 à 10 h 53Je dois avouer Carole que je ne sais pas du tout pour Israel, mais si tu lis l’anglais, Becki de Borders of Adventure connait bien la destination!
mes Souvenirs de Voyage
28 décembre 2015 à 05 h 48Jolie sélection ! Le livre sur les filles qui ont peur de tout fait beaucoup parler de lui… J’attends la fin de mes cadeaux de Noël pour voir s’il fait partie des cadeaux, sinon j’irai le chercher moi-même !
Math @ BlogVoyages
4 février 2016 à 11 h 23Belle liste. Je ne sais pas si tu connais, mais je suis entrain de lire un livre d’un voyageur, l’un des plus grand voyageurs du monde d’ailleurs, André Brugiroux. Je te laisse jeter un oeil sur son profil wikipedia, vraiment impressionnant !!
Jennifer Doré Dallas
4 février 2016 à 01 h 46Ah, non je ne connaissais pas, j’irai voir, merci!
Camille - Voyages et Compagnie
15 mars 2016 à 03 h 49“La bible du grand voyageur” (les deux éditions publiées) et “Conseils photo pour les voyageurs” font aussi partie des indispensables de ma bibliothèque !
Du coup, je me laisserai bien tentée par les autres références que tu conseilles, et surtout “Le voyage pour les filles qui ont peur de TOUT” dont j’entend beaucoup de bien !
Pierre - Un Notre Monde
3 février 2018 à 11 h 42Super liste !! 😀 Enfin surtout le Meilleur du Québec, avec ma compagne on a vraiment envie de visiter ce grand et magnifique pays qu’est le Canada à force d’en entendre du bien partout ! Et en particulier le Québec justement ! 😉
J’avais moi aussi fait une liste de bouquins qui donnent envie de voyager, et je vois que la mienne est d’un style assez différent, donc ça peut bien compléter la tienne pour ceux que ça intéresse !
Book Lover
5 mars 2023 à 07 h 33Je suis tellement excité de lire celui-ci. C’est merveilleux!!
ijarma
3 avril 2023 à 07 h 20Merci Jennifer pour ce partage très utile